80 mots de Taiwan
16,50 € TTC80 mots qui sont autant d’histoires qui racontent Taiwan et sa diversité culturelle et qui, en plus des racines des mots et de leur résonance dans le coeur des femmes et des hommes qui les utilisent, racontent le lien particulier qu’entretient l’auteur avec Taiwan, ses habitants et leurs langues. Extrait de la préface de Gérard Macé : « Vif, malin, intelligent, curieux de toutes les formes de vie, ouvert à toutes les cultures, Aurélien Rossanino est un guide parfait et subjectif (ou parfait parce que subjectif) de cette île que j’ai connue sous le nom de Formose, et qu’Aurélien a adoptée par amour, après avoir parcouru la Chine et le Japon. On le verra apparaître dans les pages qui suivent, sous l’apparence d’un enseignant, d’un animateur radio, d’un éditeur. Grand lecteur de Jules Verne, il a fondé une revue qu’il a intitulée Passepartout. Il a donc un passeport en bonne et due forme, et la formule magique pour transformer quatre-vingts jours en quatre-vingts mots. »
Formosana Histoires de démocratie à Taïwan
19,50 € TTCUn surprenant voyage littéraire dans la jeune démocratie taïwanaise
À l’heure d’une crise mondialisée où la voix singulière de Taïwan commence à se faire entendre, le recueil de nouvelles Formosana permet aux lecteurs francophones de comprendre les trajectoires historiques et sociales de cette île dont la situation détonne dans le concert des États-nations du monde.
Le bal des sirènes
19,00 € TTCJeune trentenaire solitaire, Hsia-t’ien a une passion folle : la danse de salon de style latino-américain – cha-cha-cha, rumba, pasodoble et jive. Dans ce monde très hiérarchisé, aux interactions codifiées par le genre, elle doit trouver sa place entre amatrice et compétitrice, et surtout trouver un partenaire masculin. « Les hommes mènent, les femmes suivent », c’est la règle d’or de la discipline.
Pour Hsia-t’ien, danser est une bénédiction : cette école de la rigueur lui permet de reprendre possession de son corps, de surmonter ses complexes et de connaître d’intenses moments de bonheur. Mais l’exigence de ce sport la met aussi face à ses limites.Le Banquet aphrodisiaque
23,50 € TTCComment digérer le passé ? Tantôt doux-amer, tantôt piquant, le roman de Li Ang, figure majeure de la littérature taïwanaise contemporaine, donne chair à une histoire politique sensible du vingtième siècle taïwanais. De l’humble riz au curry de la période coloniale japonaise au thé aux perles de la démocratisation de l’île, en passant par les nouilles au bœuf des prisons de la Terreur blanche…
Le Magicien sur la passerelle
22,50 € TTCSur la passerelle reliant le bâtiment « Ai » (Amour) et le bâtiment « Hsin » (Confiance) du grand marché de Chunghua, à Taipei, un magicien exerce son art. Autour de lui, tout un monde s’active dans de petits métiers.
Les Yeux de l’océan
22,50 € TTCLa voix singulière et puissante de Syaman Rapongan, aborigène longtemps rejeté aux marges, prend part aux débats sur l’avenir du monde.
Membrane
22,50 € TTCMembrane est considéré par la critique littéraire comme le texte fondateur de la « littérature queer » à Taïwan et du courant de la « science-fiction queer » en Asie. Pourtant, Membrane ne saurait être limité à un canon de la littérature homosexuelle. En effet, la richesse des thématiques abordées par Membrane est considérable : dans ce roman de science-fiction paru en 1996 et qui est tout à fait d’actualité aujourd’hui, Chi Ta-wei interroge la définition même de l’humain dans un monde dévasté par la crise écologique. En abordant la question du genre, du corps, du rapport entre humain et androïde, Chi Ta-wei propose une réflexion large et inédite sur l’identité, non seulement sexuelle, mais dans son sens biologique : qu’est-ce qui fait un « sujet humain » : un cerveau, un corps, une mémoire, un libre arbitre ? Là se trouve la valeur de l’apport de Chi Ta-wei : la littérature dite queer ne se livre pas, comme on le croit trop souvent, à une apologie de l’homosexualité ou de la transsexualité, mais repose plutôt sur le postulat selon lequel la définition biologique des corps, des genres, des sexes ne correspond pas toujours à leur définition sociale. En plus de son histoire captivante et de son écriture presque cinématographique, Membrane s’impose comme un récit de science-fiction dont il existe finalement peu d’exemples en Occident : il montre qu’en Asie aussi la science-fiction ne doit pas être uniquement considérée comme une littérature populaire et formatée, mais comme une littérature qui peut s’emparer de thématiques sociales. Ce roman a obtenu en 1996 le prix littéraire le plus prestigieux à Taïwan, le prix United Daily du meilleur roman court. Membrane est traduit pour la première fois dans une langue occidentale, bien que plusieurs des nouvelles de Chi Ta-wei aient déjà été traduites en anglais et en allemand.
Perles
19,50 € TTCLes perles d’un des auteurs phares de la scène SF du monde chinois.
Un nouveau livre de Chi Ta-wei. Une foule d’êtres insolites, sirènes, faunes, androïdes, mangeurs d’insectes, enquêteurs intergalactiques, rôdent dans les pages de ce recueil de nouvelles.
Taipei – Histoires au coin de la rue
22,50 € TTCPréface : Gwennaël Gaffric
Nouvelles urbaines de la capitale taïwanaise
Ce recueil qui réunit des nouvelles d’auteurs taïwanais contemporains, propose une plongée dans l’atmosphère de la ville de Taipei, telle qu’elle est ressentie par une série de personnages souvent transplantés dans la métropole à la suite d’événements politiques, de drames familiaux ou pour des raisons économiques…